Quand les vents se calment, au Bic, à coup de pagaie, on survole de gros rochers qui dorment, caressés par la longue chevelure que forment les varechs, au fond de l'eau. Même les hurlements des loups marins ne peuvent les réveiller. Le temps passe, l'eau est là, se retire... Les kayaks doivent marcher.
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