Le corps enfin apaisé des douleurs qui m’ont
accompagnée avec tant d’insistance au cours de l’été, je reviens d’un séjour
dans le Bas du fleuve, véritable cure de
santé. Je me sens apaisée de cette inquiétude de ne jamais me remettre de cette
intervention qui m’a obligé à mettre les deux pieds au sol, clouée là à
regarder les vélos passer, rongeant mon frein (presque littéral) .
Je ne suis pas née avec beaucoup de patience en réserve et je préfère cultiver du basilic plutôt que
cette vertu.
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