Amis bienveillants

Sur notre route, sont apparus ces deux géants, écrans protecteurs contre des vents à écorner les casques, semblaient nous dire de rebrousser chemin.

Pélerins

Mise à l'eau à Notre-Dame-du-Portage, berceau de mon enfance et plusieurs coups de pagaies pour atteindre les colonies d'oiseaux qu'abritent les Pélerins. Grands hérons, goélands, cormorans, petits pingouins et guillemots miroir ont virevolté autour de nos kayaks.

Spectacle de bord de mer

Après une journée de grand vent, souper aux saveurs régionales, près du fleuve à Rivière Ouelle. Le soleil est sorti des nuages juste à temps pour dire bonsoir!

Ciel en feu

Nous avons terminé une magnifique semaine à Pointe au Père, remplis d'extraordinaires soupers en famille avec des menus des plus délectables. Nous ne remercierons jamais assez J. et R. qui nous reçoivent si généreusement et surtout chaleureusement. On a aussi été gâtés par la température qui nous a comblé en finissant chaque jour par un spectacle flamboyant.

Ciel rayé

Le fleuve est beau. Le ciel, lui, est victime des voyageurs de l'air et se voit gratifié des traînées fumantes des réacteurs d'avion. Les corridors aériens devraient éviter les parcs nationaux, ça déguise.

Les foins

Nous avons quitté momentanément, le bord du fleuve pour aller sillonner le deuxième rang de Ste-Flavie. Le vent chaud faisait sécher le foin frais coupé dont l'odeur picotait nos narines.

Grosse bête

À vélo, le hasard nous met parfois nez à nez avec de drôles de bêtes.

Bic (2)

Deuxième journée au Bic avec une mise à l'eau à la Baie du Ha! Ha! et pique-nique à La Fourche à Louison, avec vue imprenable sur un bon clapotis.

Bic

Quand les vents se calment, au Bic, à coup de pagaie, on survole de gros rochers qui dorment, caressés par la longue chevelure que forment les varechs, au fond de l'eau. Même les hurlements des loups marins ne peuvent les réveiller. Le temps passe, l'eau est là, se retire... Les kayaks doivent marcher.

Gros vents

De forts vents nous ont poussé jusqu'à Ste-Flavie, chez M. l'agathe. J'ai atteint une pointe de 44 km/heure sans efforts. Le retour vers Pointe au père s'est fait à une moyenne honorable de 20km/heure, tout de même.

Le temps des cerises

Après plusieurs jours de canicule, ma peau a viré au même rouge vif brillant qu'arbore les petits fruits dans cette lumière de fin d'après-midi parfait.