Vous savez ce qu’on dit. Une fois que la montagne s’est parée de ses blancs atours, comptez un mois et l’hiver se sera définitivement installé, blanchissant nos parterres. Préparez vos bonnets et foulards, aérez les doudounes de plumes. Avant d’êtres ensevelis, il faudra dénicher les pelles qu’on avait cachées en espérant, vainement, ne plus jamais avoir à s’en servir.
Le Mont Valin a revêtu son long manteau blanc, inutile de continuer à nier. Reste à cultiver l’espoir que les vacances des fêtes nous offrent. Une parenthèse. La possibilité d’échapper, un tout petit peu au froid. J’ai dans la tête, non pas un sapin, mais un palmier, une barrière de corail, du sable fin, la mer bleue et mon chum dans son kayak.
Le Mont Valin a revêtu son long manteau blanc, inutile de continuer à nier. Reste à cultiver l’espoir que les vacances des fêtes nous offrent. Une parenthèse. La possibilité d’échapper, un tout petit peu au froid. J’ai dans la tête, non pas un sapin, mais un palmier, une barrière de corail, du sable fin, la mer bleue et mon chum dans son kayak.
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